Formation Crowdfundind Ulule : comment s’autoriser à voir (plus) grand.

Vous savez ce que c’est que d’avoir dans la tête et le cœur un projet bien trop grand pour soi tout seul ?
Il mijote tranquillement dans son coin et revient régulièrement vous … FRUSTRER !
Le pire avec ces idées, c’est lorsque j’ouvre mon fil d’actu sur google et que là : Paf, grande claque dans ma face ! Quelqu’un m’ a piqué mon bébé !
Vous voyez de quoi je parle ?

La news letter qui m'a fait bifurquer.

Les raisons qui font que l’on ne se lance pas sont aussi nombreuses que variées.
Besoins financiers bien supérieurs à notre échelle de valeur habituelle
Compétences que l’on ne maîtrise pas
 Difficultés à établir un plan d’action
 et ma préférée : notre intelligence émotionnelle tire le signal d’alarme et réclame des preuves. En bref, on flippe. 

J’en était à peu près là, lorsque la news-letter de Canva, m’a annoncé  un concours organisé conjointement avec Ulule. Je connaissais cette plateforme de financement participatif pour y avoir déjà accompagné ce projet. Ici, il fallait « pitcher » son idée. Vous pouviez gagner l’une des 50 bourses de formation au CROWDFUNDING*.
2 mois plus tard j’embarquais pour les 3 jours de la formation : Financer la création de son entreprise avec le crowdfunding.

Ce que j'ai appris du crowdfunding

*Comment ça s’écrit : Crowd (foule) + Funding (Financement). Financement participatif est le terme français, mais ce sont les américains qui en ont fait un art, alors …

 Que le succès d’une campagne se joue avant même qu’elle n’ait commencé. Quand j’y pense, c’es logique. Je rabache en permanence qu’un site internet ne sers à rien si personne ne va dessus. Pour une campagne de crowdfunding c’est la même chose, à ceci près qu’elle dure au maximum 45 jours afin de rester efficace. 

 Qu’une campagne peut servir un projet d’au moins 4 manières.

  La première et la plus évidente consiste à récolter des fonds pour boucler le budget du projet.
 En matérialisant le désir du public pour le projet et la capacité du porteur à fédérer sa communauté, une campagne de crowdfunding
rassure les banquiers, les investisseurs et partenaires.
 Une campagne bien menée permet de
créer de la visibilité, de faire grossir et de mobiliser la communauté dans laquelle se trouvent les soutiens, clients et prescripteurs de demain.
 Qu’elle soit réussie ou non, elle nous autorise à essayer en testant la désirabilité de notre projet avant de nous lancer.

Ceux que j'ai rencontrés

3 formatrices compétentes, dynamiques et à l’écoute et 6 autres porteurs passionnés en engagés. Leurs campagnes sont en cours de construction. Dès qu’elles seront en ligne, vous pourrez cliquer sur leurs portraits pour en apprendre plus sur leurs projets.

Ce que je retiens de ces 3 jours

Accueillir nos doutes et incompétences sereinement : C’est Lellou qui a mis le doigt dessus. Tout le monde était là pour apprendre et avancer. Les égo fragilisés sont restés au placard et avons eu la liberté de partager ses incompréhensions, ses doutes, de poser ses questions dans un environnement bienveillant. Rien de tel pour avancer vite et fort.

Donner du rythme
Ces trois jours ont fait pivoter mon rapport au temps. Nous avions un délais très court pour réaliser les exercices pratiques. Résultat : nos productions étaient imparfaites mais achevées. Quelques corrections structurelles et rappel des bonnes pratiques lors du débrief et il ne nous restait qu’à fignoler plus tard. Voilà qui me donne une toute autre résonance à la Loi de Parkinson.

 Planifier. Nous avons eu la chance de rencontrer Laure BABIN la fondatrice de ZETA qui a partagé avec nous les coulisses de la campagne ulule avec laquelle elle a lancé sa marque de Baskets en raisin. Laure nous a rappelé qu’en préparant à l’avance tous nos outils il devient possible de  :

• Créer les opportunités qui changent tout, grâce à des actions multiples et répétées. 
• Faire les rencontres qui comptent.
• Avoir assez de temps pour faire exister le projet dans la tête et le cœur d’assez de monde pour qu’il puisse devenir réalité.

Aborder le collectif de manière fertile, il n’y a rien de tel pour s’autoriser à penser (plus) grand !

Ce que je vais faire maintenant ...

Hé bien je vais appliquer ce que j’ai appris durant ces 3 jours, et ça commence maintenant.
Vous l’aurez-compris, un projet mijote dans ma cocote.
Petit à petit il prends forme. 
J’ai déjà le nom.
Il s’appelle YVETTE.

Pour en savoir plus sur YVETTE, et donner un coup de pouce, cliquez sur le bouton juste en dessous !

 

Je vous dit à bientôt et d’ici là, rappellez-vous :

Qui autour de vous aurait besoin de lire ça ?

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